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Engagement

Tempêtes, inondations et périodes de sécheresse: ces manifestations du changement climatique ont un impact nuisible sur le bien-être des hommes et les activités économiques. Les pays en développement sont frappés de plein fouet, et si rien n’est entrepris, le réchauffement climatique aura fait basculer plus de 100 millions de personnes dans la pauvreté d’ici à 2030 et réduit à néant les progrès de développement durement acquis.
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Françoise Salamé Guex
Responsable du réseau climat SECO

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Economie durable

Le SECO soutient les pays en développement sur la voie d’une économie résiliente et à faible émission de carbone. Dans toutes ses activités, il tient systématiquement compte des risques pour le climat et recherche les solutions permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il collabore en outre avec plusieurs partenaires pour mobiliser des fonds privés sous forme d’investissements favorables à la lutte contre le réchauffement climatique.
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Villes

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Transports écologiques

Dans les villes, plus d’un tiers de la pollution est due aux transports. C’est pourquoi le SECO œuvre à ce que les villes déploient des stratégies d’aménagement réfléchies, privilégiant les transports publics et les transports non motorisés, afin que les habitants puissent circuler facilement tout en respectant le climat.
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Un approvisionnement énergétique durable

L’approvisionnement en énergie de la population et des entreprises est la principale cause d’émissions de gaz à effet de serre. Le SECO encourage les villes à adopter une approche durable en misant sur une utilisation plus efficiente de l’énergie et sur les énergies renouvelables. L’objectif est avant tout d’injecter de grandes quantités d’énergie solaire et éolienne dans les réseaux de distribution et de promouvoir l’énergie hydraulique pour son caractère durable.
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Risques liés au climat

La majorité des villes se situent en bordure de fleuves ou dans des zones côtières. Elles sont dès lors exposées à des phénomènes météorologiques extrêmes, qui peuvent avoir des répercussions catastrophiques sur l’économie et plonger les populations dans la pauvreté.
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Prévention des catastrophes

Le SECO apporte son soutien aux villes partenaires afin qu’elles se préparent au mieux pour affronter d’éventuelles catastrophes et les surmonter. Il aide les autorités à planifier le développement de leur ville en intégrant les risques. Il les aide également à assurer l’approvisionnement en eau et en énergie de la population ainsi que dans la gestion des eaux usées.

Plus d'information: Développement urbain et approvisionnement en infrastructures
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Ressources

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Production durable

Le SECO s’engage de longue date pour favoriser une production industrielle et agricole respectueuse des ressources et de l’environnement dans les pays en développement. Ses projets visent à aider les PME à réduire leur consommation d’énergie, d’eau et d’autres ressources. Les PME réduisent ainsi leur impact sur le climat et l’environnement tout en améliorant leur productivité, ce qui les rend globalement plus concurrentielles.
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Un cadre légal propice

Le SECO apporte son soutien aux gouvernements désireux de mettre en place un cadre légal adéquat pour promouvoir les processus de production respectueux des ressources et efficients en énergie.

Il aide également ses pays partenaires à mettre en place des mécanismes de prix intégrant le CO2, comme une taxe sur le CO2 ou un système d’échange de quotas d’émission.

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Des chaînes de valeur durables

Le SECO soutient ses pays partenaires dans la mise en place de chaînes de valeur durables qui préservent les ressources naturelles. Il aide par exemple les producteurs de cacao ou de café à adapter leurs méthodes de production aux évolutions résultant du changement climatique. Les paysans et leur communauté deviennent ainsi plus résilients et sont mieux à même de faire face aux crises.

Plus d'information: Intégration dans des chaînes de valeur
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Investir

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Promouvoir les critères ESG

Les investissements durables ont le vent en poupe. Il s’agit de placements qui tiennent compte des trois dimensions de la durabilité que l’on appelle aussi les critères ESG, à savoir l’impact sur l’environnement, l’impact sur la société, et la gouvernance. Le SECO se mobilise pour que les critères ESG soient appliqués sur l’ensemble du marché, une condition essentielle au succès à long terme des entreprises.
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Préserver la biodiversité

Prenez la protection de la biodiversité: de prime abord invisible, elle a en fait un impact énorme. Un hôtel situé aux abords d’un récif corallien va vivre grâce aux plongeurs attirés par le site. Et qu’adviendrait-il de l’agriculture sans les insectes pollinisateurs? C’est dans ce contexte que le SECO a contribué à développer la méthodologie ENCORE, qui aide les banques à comprendre les risques liés à la biodiversité et les incite à en tenir compte dans leurs décisions de placement et de crédit.
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Des capitaux privés pour des investissements respectueux du climat

Le SECO se mobilise pour que les fonds privés soient investis, via le marché des capitaux, dans des projets durables et respectueux du climat dans les pays en développement. Les obligations vertes, dont les émetteurs sont tenus de financer des mesures de protection de l’environnement et du climat avec les fonds levés, jouent un rôle central.
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Promouvoir les obligations vertes

Le SECO soutient par exemple le Emerging Green One Fund de la Banque mondiale, qui promeut les obligations vertes dans les pays en développement. Il soutient par ailleurs des normes internationales pour les obligations vertes par le biais de la Climate Bonds Initiative. Ces normes favorisent la transparence pour les investisseurs et réduisent les coûts de transaction lors du négoce de ce type d’obligations.
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Investissement à impact social

Le SECO promeut en outre l’investissement à impact social qui, en plus de générer un retour financier, déploie également des effets bénéfiques mesurables sur la société et l’environnement. SIFEM, la société financière de développement de la Confédération mise sur pied par le SECO, est un acteur important dans ce domaine.

Plus d'information: Accès aux financements
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Finances

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Stabiliser les finances publiques

Le changement climatique menace la stabilité financière des États: les catastrophes naturelles, toujours plus fréquentes et dévastatrices, mettent à mal les finances publiques. Un risque de catastrophes naturelles accru a un impact négatif sur la solvabilité des États, pour qui il devient plus coûteux de se procurer des capitaux.
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Analyse des risques financiers

Bon nombre d’États subventionnent encore largement des secteurs nuisibles au climat, en particulier les combustibles fossiles. Et même sans subvention, leur prix est trop faible, puisqu’ils ne reflètent pas le véritable coût pour la société, laissant notamment de côté le coût de la pollution atmosphérique et du réchauffement climatique. D’un point de vue économique, cela n’est pas efficient.

Enfin, le changement climatique pose également de grands défis au secteur financier. Les établissements financiers qui investissent dans des technologies obsolètes et nuisibles au climat s’exposent à d’importantes pertes de valeur. Les établissements financiers pâtissent également des défauts de paiement de clients subissant les dommages climatiques.
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Gérer les risques

Le SECO apporte son soutien aux pays partenaires dans l’analyse et la gestion des risques financiers liés aux catastrophes naturelles en les orientant vers des fonds de réserve ou des assurances, par exemple. Il les accompagne également dans la mise en place de finances publiques respectueuses du climat. Il s’agit par exemple de mettre en évidence les paramètres climatiques entrant dans la planification budgétaire et d’intégrer des critères climatiques dans les marchés publics et le choix de projets d’investissement publics.

Le SECO œuvre à faire intégrer des critères liés au climat dans la gestion des finances publiques, ce qui incite les ministères des finances à prendre en compte le changement climatique.

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Des produits respectueux de l’environnement

Enfin, le SECO aide les gouvernements à s’assurer de la qualité des produits respectueux du climat sur le marché financier, ainsi qu’à lancer eux-mêmes ce type de produits, par exemple des obligations vertes. Il aide les banques centrales à analyser les effets du changement climatique sur la politique monétaire et la stabilité du secteur financier et à définir des mesures adéquates.

Plus d'information: Politique économique propice à la croissance

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Multilatéral

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Coopération avec les banques multilatérales

Les enjeux globaux, comme le changement climatique, appellent une réponse multilatérale. C’est pour cette raison que le SECO soutient l’engagement climatique des banques multilatérales de développement, qui sont un acteur central de la lutte contre le changement climatique.

Le SECO aide à mettre au point des stratégies climatiques et à faire en sorte que le secteur privé participe davantage aux programmes climatiques. Il incite les banques à intégrer les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat dans leurs stratégies et à investir uniquement dans des projets durables et respectueux du climat.


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Sur la voie du tournant énergétique

Le secteur de l’énergie est le plus grand émetteur de gaz à effet de serre dans le monde. C’est la raison pour laquelle le SECO œuvre aux côtés des banques multilatérales de développement dans l’optique de garantir à la population et aux entreprises un approvisionnement en énergie fiable, dans le respect du climat.

Le SECO contribue au développement de stratégies et de programmes énergétiques visant à promouvoir les énergies renouvelables et l’efficience de leur utilisation. Le SECO a contribué à ce qu’aujourd’hui, les banques multilatérales de développement ne financent plus de centrales à charbon, ne soutiennent que rarement l’énergie gazière et ouvrent de nouveaux marchés pour l’énergie solaire et éolienne dans bon nombre de pays en développement.

En 2020, les banques multilatérales de développement ont investi plus de 22 milliards de dollars dans les énergies renouvelables.

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Croissance économique durable et verte après le Covid-19

Dans l’année qui a suivi le début de la crise du COVID-19, les banques multilatérales de développement ont mis en place des programmes de mesures sanitaires et économiques pour plus de 260 milliards de dollars.

Pour atteindre les objectifs de développement durable après le COVID-19, les banques promeuvent une croissance économique durable et générant peu d’émissions. Pour cela, les entreprises doivent être concurrentielles et les inégalités réduites. Tous les groupes de populations, y compris les plus pauvres et les plus vulnérables, doivent pouvoir en bénéficier.

Le SECO et les banques aident les pays à atteindre la neutralité climatique et à les préparer aux crises, et plus particulièrement aux conséquences du changement climatique.


Plus d'information: Coopération multilatérale






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Françoise Salamé Guex

Responsable du réseau climat SECO

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En 2021, la Coopération et développement économiques du SECO a financé des projets climatiques dans ses pays partenaires à hauteur de 111 millions de francs. Ce montant représente plus d’un tiers de ses dépenses annuelles.

Les dépenses climatiques sont calculées selon les lignes directrices du CAD de l’OCDE sur l’intégration des conventions de Rio dans la coopération pour le développement. Ces lignes directrices définissent la proportion dans laquelle tel ou tel type de projet permet de lutter contre le changement climatique. Elles font la différence entre les projets qui permettent d’atténuer les conséquences du changement climatique et ceux qui aident les pays à s’adapter à ces conséquences.

Le passage aux énergies renouvelables, les concepts énergétiques durables ou la sylviculture durable, par exemple, sont considérés comme des mesures visant à atténuer les conséquences du changement climatique, tandis que les systèmes d’assurance et d’alerte précoce ou encore la mise à disposition d’abris constituent des mesures d’adaptation.

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Le SECO contribue à réduire la consommation de ressources des parcs industriels via le programme Global Eco-Industrial Parks Program, qui incite les entreprises affiliées à respecter les standards environnementaux et sociaux. Le programme est mis en œuvre en Afrique du Sud, en Colombie, en Égypte, en Indonésie, au Pérou, en Ukraine et au Vietnam. Il collabore avec les entreprises, la direction des parcs et les services gouvernementaux impliqués.
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Les parcs industriels regroupent diverses entreprises de production et de services à un même endroit. Ils sont très répandus dans bon nombre de pays en développement ou émergents et jouent un rôle important sur le plan économique. Malheureusement, les modes de production y sont rarement efficaces ou soucieux de préserver les ressources.
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Le programme les accompagne dans leur transition vers ce que l’on appelle des parcs éco-industriels. Les entreprises regroupées sur ces sites développent des approches communes en matière d’environnement et de ressources, ce qui réduit leur empreinte environnementale et améliore la productivité de l’ensemble du parc.
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Les responsables du programme et les entreprises déterminent ensemble comment ces dernières peuvent économiser les ressources. Cette approche vise également à créer des synergies entre les entreprises, par exemple en récupérant la chaleur dégagée par le processus de production d’une entreprise donnée pour chauffer une serre à un autre endroit du parc.
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La direction des parcs doit créer les conditions nécessaires, que ce soit au niveau de l’organisation ou des infrastructures, pour que les entreprises puissent produire en limitant leur consommation de ressources. Le programme les aide à identifier le potentiel d’amélioration et à mettre au point des solutions. Il peut par exemple s’agir d’une station d’épuration des eaux dans le parc, de la production durable d’énergie ou encore d’un système de transport interne à l’éco-parc.
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Le programme conseille par ailleurs les gouvernements en vue d’instaurer un cadre légal incitant les entreprises à opter pour des modes de production peu gourmands en ressources. Les gouvernements sont de plus en plus nombreux à demander du soutien technique dans les domaines du climat ou de l’efficience en ressources, afin d’être en phase avec les accords internationaux comme l’Accord de Paris sur le climat ou les objectifs de développement durable.

Plus d'information: Global Eco-Industrial Parks Program




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Rares sont les endroits aussi arides que le désert du sud de l’Égypte. C’est pourtant bien là que le parc solaire de Benban a été mis en service en 2019. Il s’agit de la plus grande centrale photovoltaïque d’Afrique et l’une des plus grandes du monde. Sur 37 km², le parc solaire produit de l’électricité propre qui sert à alimenter plus de 400 000 ménages et un grand nombre d’entreprises. Il stimule en outre l’économie régionale.
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Le parc permet d’éviter d’émettre jusqu’à 2 millions de tonnes de gaz à effet de serre par an. De plus, la région a nettement réduit sa dépendance vis-à-vis des combustibles fossiles.
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L’exploitation du parc solaire assure à la population locale quelque 4000 emplois de longue durée, ce qui est particulièrement important dans le sud de l’Égypte, où le chômage des jeunes, notamment, est élevé.
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Le parc solaire de Benban a bénéficié du soutien de plusieurs banques de développement multilatérales, dont la Banque européenne pour la reconstruction et le développement et le Groupe de la Banque mondiale. Ces partenaires multilatéraux du SECO sont des leaders dans le financement de projets photovoltaïques dans les pays en développement.
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Une multitude d’entreprises et environ 9000 ouvriers ont travaillé sur ce qui fut temporairement le plus grand chantier d’Égypte. Il a fallu familiariser ces ouvriers avec les normes internationales en matière de travail, d’environnement, de santé et de sécurité, et faire respecter ces normes partout.
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Il a fallu par exemple s’assurer qu’aucun enfant ou adolescent ne travaillait sur le chantier, que toutes les mesures préventives possibles soient mises en œuvre, que des soins médicaux soient disponibles sur place, que l’eau propre et les installations sanitaires soient disponibles en quantité suffisante, et que les déchets soient gérés d’une manière responsable. Dans cette optique, les banques de développement ont travaillé main dans la main avec les entreprises et les services gouvernementaux impliqués.

Plus d'information: Benban solar power plant
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Depuis plus de 20 ans, le SECO soutient des projets d’approvisionnement en eau et de traitement des eaux usées en Macédoine du Nord. L’approvisionnement en eau et l’épuration des eaux usées consomment beaucoup de courant et sont donc de grands émetteurs de gaz à effet de serre. Cela d’autant plus qu’en Macédoine du Nord, l’électricité provient à près de 70 pour cent de combustibles fossiles.
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La station d’épuration des eaux usées de la ville de Kotchani, financée par le SECO et conçue en étroite collaboration avec des spécialistes suisses, traite les eaux usées de 65 000 habitants. Le biogaz produit par le processus d’épuration ainsi qu’une centrale solaire lui permettent de couvrir environ les 3/4 de ses besoins énergétiques par du courant vert. Une approche doublement avantageuse, puisqu’elle permet de réduire à la fois les gaz à effet de serre et les coûts d’exploitation.


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Le fort ensoleillement dont bénéficie la Macédoine du Nord en fait une région propice pour la production d’énergie photovoltaïque. C’est la première fois que l’énergie solaire est utilisée pour alimenter une station d’épuration dans la région de Kotchani. Les panneaux solaires fournissent jusqu’à 300 kW et, pendant certaines périodes estivales, ils couvrent la totalité des besoins en électricité de la station d’épuration.
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La fermentation des boues d’épuration de l’usine produit de grandes quantités de biogaz, qui est transformé en électricité et en chaleur.
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Kotchani est une région rizicole. Bien que cela soit interdit, les rizières étaient jusqu’ici souvent brûlées après la culture, ce qui pose plusieurs problèmes : perte de biodiversité, réduction de la fertilité du sol, pollution atmosphérique et émissions de CO2.

Aujourd’hui, la paille de riz est ramassée après la récolte et compostée à la station d’épuration avec les boues d’épuration déshydratées. De ce processus résulte un compost pour l’agriculture locale à faible coût. Il permet également d’éviter les émissions de méthane, un polluant atmosphérique, qui émanent généralement de la mise en décharge des boues d’épuration.

Plus d'information: Kocani Waste Water Treatment Project
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À quoi servent les impôts et les taxes que nous payons? La réponse se trouve souvent auprès des ministères des finances, qui décident dans une large mesure, dans le respect des directives qui leur sont données par le Parlement et sous sa surveillance, de la manière dont un État perçoit les taxes, gère ses recettes et les réinvestit.

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C’est la raison pour laquelle le SECO a développé le programme «Mainstreaming Climate Change in Public Financial Management», qui intègre des aspects liés au climat dans des projets réalisés en partenariat avec les ministères des finances. Pour atteindre une masse critique de ministères, le SECO a développé ce programme en collaboration avec la Banque mondiale, qui soutient des projets de réforme avec les ministères des finances dans pratiquement tous les pays en développement.

Comment ce programme fonctionne-t-il? Voici 3 exemples:

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1. Un budget national respectueux du climat au Bhoutan

Le budget de l’État détermine dans une large mesure la manière dont cet État organise ses recettes et dépenses. Le programme du SECO et de la Banque mondiale a donc mis au point des recommandations sur la manière d’intégrer au mieux les effets du changement climatique dans les discussions nationales autour du budget.

C’est ainsi que le Bhoutan a, pour la première fois, fait état de ses dépenses liées au climat dans son budget. Dans un second temps, le programme aidera le Bhoutan à analyser l’intégralité des dépenses publiques pour déterminer leurs effets sur le climat. Les résultats de ces analyses seront publiés de manière détaillée dans le budget national, ce qui doit permettre à l’administration et au Parlement de mieux apprécier l’impact de leurs décisions sur les objectifs climatiques.

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2. La réforme de gouvernements locaux au Kenya


Avec le soutien du programme du SECO et de la Banque mondiale, les 47 districts administratifs du Kenya ont évalué leur degré de préparation au changement climatique et identifié les domaines dans lesquels ils doivent agir. Ces travaux ont débouché sur des recommandations relatives à la réforme des finances publiques et à la gestion des risques de catastrophes. Les recommandations ont ensuite été discutées avec plus de 150 décideurs locaux lors de formations pour dégager les possibilités de mettre en œuvre des réformes.
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3. Des marchés publics respectueux du climat

À travers le monde, les pays dépensent environ 11 trillions de dollars, soit 12 pour cent de leur produit intérieur brut, pour les marchés publics. Ceux-ci ont donc un impact énorme sur l’économie et l’environnement. Le programme du SECO et de la Banque mondiale a mis au point de nouveaux indicateurs pour analyser dans quelle mesure les marchés publics sont respectueux du climat.

Plus de 150 pays ont ensuite été évalués sur la base de ces indicateurs. Les résultats ont été mis en ligne afin de permettre aux pays de se situer en comparaison internationale et de comprendre comment ils peuvent s’améliorer. Des recommandations détaillées ont par ailleurs été publiées afin d’aider les pays à intégrer davantage la composante environnementale dans leurs marchés publics.


Plus d'information: Mainstreaming Climate Change in Public Financial Management
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Les entreprises ont besoin de possibilités de financement solides et à long terme. Ils peuvent alors investir, prospecter de nouveaux marchés et créer des emplois décents.
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Mais dans les pays en développement, les entreprises, et plus particulièrement les PME, ont très peu de possibilités pour se financer. C’est pourquoi le SECO fournit aux entreprises du capital ainsi qu’une expertise technique, et, parallèlement, forme les banques locales à l’octroi de crédits.
Il s’est associé dans cette démarche à SIFEM, la société de financement du développement de la Confédération, qu’il a créée en 2011. En plus de son expertise, SIFEM propose aux PME bien établies et viables des participations et des prêts à long terme, tout cela à des conditions abordables.

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En Afrique du Sud, 90 pour cent de l’électricité produite l’est dans des centrales à charbon, avec les émissions de CO2 qui en découlent. Les besoins en électricité augmentant, la capacité des centrales n’est plus suffisante, ce qui cause régulièrement des pannes d’électricité dans tout le pays.
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Tandis que le prix de l’électricité a augmenté de plus de 300 pour cent en dix ans en Afrique du Sud, le coût du photovoltaïque baisse. L’énergie solaire devient donc toujours plus intéressante pour les utilisateurs commerciaux et industriels, une évolution qui va dans le sens d’une économie respectueuse du climat. Il est toutefois difficile pour les PME sud-africaines de financer elles-mêmes leurs installations photovoltaïques.
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SIFEM investit, via un fonds, dans l’entreprise spécialisée en énergie solaire SolarAfrica, qui propose à ses clients des solutions de financement modernes pour installer des panneaux solaires sur leur toit. SolarAfrica prend en charge l’intégralité de l’acquisition des installations et de leur mise en place, y compris leur exploitation commerciale, le contrôle et la maintenance, et conclut des contrats de vente d’énergie avec les clients. Ces derniers payent uniquement l’électricité consommée et économisent jusqu’à 40 pour cent des coûts par rapport aux tarifs des fournisseurs locaux. À ce jour, SolarAfrica a installé plus de 34 000 capteurs solaires.

Swiss Investment Fund for Emerging Markets SIFEM


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L’hôtel Apollo, établi près de Johannesburg, est client de SolarAfrica.

«Avec SolarAfrica, les tarifs sont toujours inférieurs à ceux du fournisseur public d’électricité. Et nous n’avons à assumer aucun frais d’investissement.»
Jeffrey Hurwitz, Directeur de l’hôtel

Plus d'information: SolarAfrica
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Städteenwicklung

Durch Kolumbiens Hauptstadt führt seit 2019 eine vom SECO unterstützte Seilbahn, die als öffentliches Verkehrsmittel dient. Sie stimuliert auch das soziale und wirtschaftliche Leben. Über fast dreieinhalb Kilometer verbindet die TransMiCable Ciudad Bolívar, eine einkommensschwache Gegend im Südwesten, mit einer Hauptverkehrs-Buslinie in San Cristóbal im Südosten Bogotás.
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Die TransMiCable ermöglicht es mehr als einer halben Million Anwohnern, sich zeitsparend in ihrer Stadt zu bewegen. Sie verkürzt die Fahrt zu Arbeitsplätzen und öffentlichen Dienstleistungen im Zentrum um rund 80 Prozent auf noch gut 13 Minuten. In den ersten drei Betriebsmonaten beförderte die Seilbahn mehr als 1,8 Millionen Passagiere. Die TransMiCable ersetzt rund 110 Busse und verringert so nicht nur die chronische Überlastung der städtischen Strassen, sondern auch den CO2-Ausstoss.
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Das Seilbahnprojekt generiert soziale und wirtschaftliche Aktivitäten. So revitalisierte die Gemeinde öffentliche Räume rund um die vier Stationsgebäude. Entstanden sind neue Plätze, Gemeindezentren, Kinderspielplätze und viel Strassenkunst. Diese Entwicklungen beflügeln die lokale Wirtschaft und schaffen Arbeitsplätze. So sind neben den Stationen zahlreiche Betriebe wie Bäckereien, Souvenirshops, Restaurants und sogar ein Hotel entstanden.
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Ana Mercedes Mora
Präsidentin Quartier ‘El Paraiso’, Ciudad Bolivar

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In einem vom SECO finanzierten Teilprojekt hat IFC die Behörden in Bogotá zu zwei Fragen beraten: Wie kann man städtische Infrastrukturbauten wie die TransMiCable effizient verwalten und dabei internationale Umwelt- und Sozialstandards etablieren? Und wie lässt sich der Privatsektor dazu bewegen, sich mehr an städtischen Infrastrukturprojekten zu beteiligen? Anschliessend gelang es, für solche Projekte geschätzte 450 Millionen Dollar von privater Seite zu mobilisieren.

Stadtentwicklung und Infrastrukturversorgung


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